
Des circonstances inhabituelles ou un coup monté digne d’être écrit dans un roman de Den Braun ?
C’est probablement la deuxième, et lisez plus loin pourquoi…
Le pape Benoît XVI, qui a été le pape de 2005 à 2013, a démissionné de façon inattendue, et le public ne sait toujours pas pourquoi…
Cependant, un groupe de dirigeants catholiques a envoyé une lettre au précédent président des États-Unis, le président Trump en 2017, pour faire quelque chose et enquêter sur ce qui est, selon eux, » un sabotage au sommet de l’Église catholique. «
« Nous avons des raisons de croire qu’un ‘changement de régime’ du Vatican a été manigancé par l’administration Obama. »
« Nous avons été alarmés de découvrir que, pendant la troisième année du premier mandat de l’administration Obama, votre ancienne adversaire, la secrétaire d’État Hillary Clinton, et d’autres responsables gouvernementaux avec lesquels elle s’est associée ont proposé une ‘révolution’ catholique dans laquelle la disparition définitive de ce qui restait de l’Église catholique en Amérique serait réalisée. »
Les affirmations de ce groupe de catholiques sont étayées.
Un an avant l’envoi de cette lettre, en 2016, WikiLeaks a divulgué des courriels du directeur de campagne d’Hillary Clinton, John Podesta, dans lesquels ce haut dirigeant du Parti démocrate et d’autres progressistes discutaient d’un changement de régime pour éliminer ce qu’ils décrivaient comme la « dictature du Moyen Âge » dans l’Église catholique.
Dans les courriels, il a été découvert que Podesta et d’autres militants travaillaient à l’avènement d’une révolution du « printemps catholique ».
Et selon WikiLeaks, « Ce « printemps catholique » est une référence apparente aux désastreux coups d’État du « printemps arabe » organisés simultanément, c’est-à-dire entre 2011 et 2012, par l’équipe Obama-Clinton-Soros. De toute évidence, quelque chose d’analogue a été planifié par Podesta, Clinton et Soros avec le Vatican : destituer Benoît XVI et mettre en place un homme de gauche radicale : Bergoglio. »
Dans leur lettre au président Trump, le groupe de dirigeants catholiques décrit avec stupéfaction comment, en 2013, un an seulement après l’échange d’e-mails entre Podesta et ses acolytes en 2012, l’incroyable Benoît XVI a fini par démissionner :
« Environ un an après cette discussion par courriel, qui n’a jamais été destinée à être rendue publique, nous constatons que le pape Benoît XVI a abdiqué dans des circonstances très inhabituelles et a été remplacé par un pape dont la mission apparente est de fournir une composante spirituelle à l’agenda idéologique radical de la gauche internationale. »
Le journaliste espagnol Arturo Picatoste, qui a enquêté de près sur toute cette affaire, affirme que « l’administration Obama a suivi de près les mouvements des derniers jours de Benoît XVI, en l’espionnant » : « Sous l’administration Obama, l’Agence nationale de sécurité des États-Unis, depuis décembre 2012, a espionné les conversations téléphoniques dans la Cité du Vatican pendant toute la durée du conclave. »
Selon ce journaliste espagnol, et en tenant compte de la lettre de 2017, pour donner le coup de grâce, l’administration Obama, avec George Soros et d’autres financiers du genre, a contrôlé le mouvement de l’argent du Vatican dans les derniers jours de Benoît XVI, de telle sorte qu’il n’avait aucune issue, le forçant ainsi à démissionner.
« Le Vatican de Benoît XVI n’avait pas le droit de le faire – continuer les opérations bancaires ». En effet, le lendemain du jour où il a annoncé, le 11 février 2013, qu’il allait démissionner, la possibilité de manipuler de l’argent a été rouverte. »
« C’est très caractéristique cette image que vous voyez lorsque le 28 février 2013 Benoît donne le dernier discours aux cardinaux et que les caméras se concentrent sur les cardinaux. Et quand à ce moment-là elles se concentrent sur Bergoglio, il réalise et met sa main sur sa poitrine, qui est le symbole de l’obéissance maçonnique, pendant de nombreuses secondes, tout le temps que la caméra se concentre sur lui. Puis il refait ce même geste lorsqu’il sort au balcon après avoir été élu lors de ce faux conclave. »
Et voici la partie très intéressante – selon Picatoste et l’interprétation du document de démission – le pape officiel est toujours Benoît XVI !
« Nous sommes très clairs sur le fait que Jorge Bergoglio n’est pas pape. C’est un faux pape. C’est un antipape. Cela a déjà été démontré juridiquement, très clairement. En fait, récemment sont sorties certaines déclarations que Benoît XVI a publiées dans un livre de Peter Seewald en 2016, dans lequel il a dit très clairement qu’il n’avait pas démissionné du munus mais seulement du ministère. Par conséquent, selon lui, il reste selon le code de droit canonique, il délimite que sa démission n’est pas valide et qu’il reste le seul pape régnant. »
« Ce faux conclave est une lettre morte. Parce que si la démission n’est pas valide, alors Bergoglio n’est pas pape et ce conclave était inutile ».
Bon sang, j’ai l’impression d’avoir déjà lu un livre entier en traitant toutes ces informations !
Et vous, qu’en pensez-vous ?
J’y attache une importance certaine. Le comportement de ce Pape est surprenant. Je souhaite que la mafia US soit démasquée, peut-être avec l’Aide de la Camora.
Je pense qu’il faut aussi regarder du cote des ouvrages et du travaille que Kevin Annett a fait pour denoncer ce pape sanguinaire et qui la pousse a la demission http://murderbydecree.com/blog/
Je vais lire ça avec beaucoup d attention. Merci pour le partage.
Merci pour votre soutien
Voilà ça c’est bien !
Absolument et c’est décrit , expliqué dans un livre de Pierre JOVANOVIC (666 ou 777, je ne sais plus) où il explique la démission forcée de Benoit XVI, moins de détails mais CIA en cause… Je le dis depuis 9mois François est un faux Pape, satan sur le trône de ST PIERRE. C’est dans la Bible, apocalypse.