
Depuis le lundi 27 septembre, Samy M. est jugé par le tribunal de grande instance de la Drôme à Valence pour les crimes commis en décembre 2018. Il a enlevé et violé sa sœur alors âgée de 24 ans, qui avait quitté le domicile familial à Bourg-de -Péage un mois plus tôt. Lorsqu’il a découvert qu’elle entretenait une relation intime avec une femme, il l’a alors attaquée. Il l’a attirée vers la rivière Drôme, où elle s’était rendue avec deux copines. Armés et cagoulés, il les a obligés à se rendre dans un endroit désert, les a battus, les a obligés à s’agenouiller ; puis le trentenaire a profondément sculpté les deux joues de la petite amie de sa sœur avec un rasoir et a dit, comme nous l’ont dit les victimes lors de leurs auditions : « Je te ferai sourire pour toujours.
Le tribunal l’a accusé d’avoir commis cet abus « en raison de l’orientation sexuelle » des jeunes femmes. Les trois victimes ont affirmé ceci : Selon elles, l’homme de Bourg-de-Péage a affirmé qu’« une femme doit sortir avec un homme et que cela [l’homosexualité, ndlr] ne se fait pas chez les islamistes. Une tendance à l’homophobie qui s’est manifestée en prison, mais que Samy M. a démentie depuis. La réaction des trois victimes, assises au premier rang et face à l’horreur de ce qu’elles ont vécu, montre qu’elles n’avaient pas affaire à un ami , inquiet frère aîné. Les trois jeunes femmes sont pâles, l’une tremble, la seconde a des problèmes respiratoires. Le troisième, en pleine crise de panique, doit être soigné par les pompiers. Malgré le masque, vous pouvez voir les cicatrices sur ses joues qui la défigureront à vie.
Ignoble et non étonnant de la part d’un Islamiste rasicalisé. Sa condamnation, ne sera pas très forte, malheureusement.