
William Burns – le nouveau directeur de la Central Intelligence Agency nommé en mars – a toujours été un allié du Parti communiste chinois (PCC) et de ses associés. Bien qu’il ait déclaré que cette relation était terminée, National Pulse a fait valoir que son affirmation pourrait être fausse.
Lors d’une audition à la chambre du Sénat en mars, le nouveau choix du président Joe Biden pour le poste de directeur de la CIA a tenu des propos forts indiquant qu’il résisterait à l’influence de la Chine en Amérique.
« Il existe cependant un nombre croissant de domaines dans lesquels la Chine de Xi [leader du PCC] est un adversaire redoutable et autoritaire – renforçant méthodiquement ses capacités à voler la propriété intellectuelle, à réprimer son propre peuple, à intimider ses voisins, à étendre sa portée mondiale et à développer son influence sur la société américaine », a déclaré Burns.
Interrogé sur les menaces d’organisations telles que la China-U.S. Exchange Foundation d’infiltrer la perspective des Américains, l’ancien secrétaire d’Etat adjoint a convenu que le PCC « essaierait d’influencer les développements politiques, économiques et culturels au profit des intérêts du PCC » par le biais de telles installations.
Toutefois, National Pulse a souligné que Burns a un historique d’échanges avec la China-U.S. Exchange Foundation (CUSEF), ce qui réfute ses affirmations selon lesquelles il a seulement « hérité » de la relation avec le groupe de réflexion.
Burns était le président de Carnegie Endowment for International Peace en 2015. Cette organisation a reçu des millions de dollars sponsorisés par le personnel issu du PCC pour stimuler le centre Carnegie-Tsinghua du think tank basé à Pékin aux États-Unis, a révélé le Republican Study Committee.
Alors que le directeur de la CIA choisi par Biden a déclaré que Carnegie avait mis fin à ses relations avec CUSEF, National Pulse a cité un communiqué de presse de la société le 8 avril, mettant en doute la véracité de ses affirmations.
Selon le communiqué de presse, Carnegie a reçu un soutien financier de la part de CUSEF par le biais d’un projet de recherche avec le Shanghai Institute for International Studies (SIIS), dont le dirigeant, Chen Dongxiao, a écrit qu’il s’attendait à ce que la relation soit maintenue.
« J’espère également que le SIIS et Carnegie continueront à mener des recherches conjointes autour des questions de cybersécurité entre les États-Unis et la Chine et qu’ils contribueront davantage aux relations entre les deux pays », écrit Chen dans le rapport de 61 pages.
La date et le contenu du communiqué de presse donnent une réalité complètement inverse des propos du nouveau directeur de la CIA sur ses relations avec le gouvernement chinois.
Lorsque Burns était encore candidat au poste de directeur de la CIA, le président Biden s’est montré très promoteur de l’homme malgré les rapports faisant état de ses liens et de son soutien au Parti communiste chinois dans le passé.
« L’ambassadeur Burns apportera les connaissances, le jugement et la perspective dont nous avons besoin pour prévenir et affronter les menaces avant qu’elles ne puissent atteindre nos côtes », a déclaré M. Biden. « Le peuple américain dormira sur ses deux oreilles avec lui comme prochain directeur de la CIA ».
Je ne suis pas étonnée. C’est pour ça que rien n’a été fait contre Bill Gates entres autres. La CIA est un état aux États-Unis qui élimine les personnes trop bien, contre la guerre etc. Les Kennedy ont été assassiner pour cela et Trump les gêne beaucoup. D’où ce vote plus que douteux. En France, Macron a été élu en trichant aussi.