24/04/21

Vaccin COVID-19, 22 décembre 2020 (Holger Matthes / flickr)
Le Centre Territorial d’Information Pharmaceutique d’Avis (CTIAP pour son acronyme français) a conclu qu’aucun des quatre vaccins mis en œuvre en France n’est sûr ou efficace. Ils ont tous reçu une autorisation d’utilisation d’urgence avec des preuves cliniques insuffisantes et ont donc exigé leur suspension immédiate.
Le CTIAP, qui est lié à l’hôpital public de Cholet dans l’ouest de la France, a récemment publié un rapport montrant que les vaccins utilisés contre les virus CCP ont subi des tests cliniques insuffisants. De plus, la qualité des substances actives, leurs «excipients – dont certains sont nouveaux» et les procédés de fabrication sont déficients.
Le Dr Catherine Frade dirige l’équipe de recherche, une pharmacienne renommée qui a travaillé sur des données publiques rapportées par l’Agence européenne des médicaments (EMA) concernant les injections de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen (Johnson & Johnson).
Le premier avertissement publié dans le rapport est que tous ces produits ne disposent que d’autorisations de mise sur le marché (AMM) temporaires. En outre, ils font tous l’objet d’études complémentaires jusqu’en 2024, ce qui rend presque impossible leur réalisation compte tenu de la distribution accélérée des vaccins.
À cet égard, le CTIAP prévient que tous les vaccins ont commencé à être commercialisés et appliqués activement chez l’homme avant que les «tests de qualité de la substance active et du produit fini» n’aient eu lieu: tous les laboratoires de fabrication ont des dates limites futures pour soumettre leurs études à cet égard. Même s’ils savaient qu’au moment où ils les ont soumis, une grande partie de la population mondiale serait déjà vaccinée.
Le rapport n’indique pas que les vaccins sont dangereux, mais les connaissances actuelles ne sont pas suffisamment valables pour démontrer leur efficacité et / ou leur innocuité.
Les vaccins ont commencé à être fabriqués et appliqués au milieu d’essais en laboratoire, ce qui implique qu’une modification des résultats au cours des prochains mois pourrait invalider les essais précédents car ils sont encore dans une période de recherche et d’adaptation.
Le rapport établit un parallèle intéressant entre la production de vaccins et la production automobile. Il demande si nous imaginons qu’il est possible de démarrer une ligne de production pour une nouvelle voiture et de commencer à la commercialiser sans effectuer d’études de qualité sur chacune de ses pièces et de son moteur, y compris des composants liés à la sécurité tels que ses freins et ses systèmes électriques.
La réponse logique est non, alors pourquoi le ferions-nous avec des vaccins, une substance destinée à être inoculée directement dans le corps de chaque être humain dans le monde?
Le rapport conclut: «La prudence imposerait même que, dans tous les pays où ces vaccins contre le COVID-19 (virus CCP) ont été commercialisés, tous les lots ainsi« libérés »doivent être retirés immédiatement; et que ces AMM qui ont été accordées devraient être suspendues, voire annulées, de toute urgence jusqu’à nouvel ordre. »
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