Les citoyens polonais auront le droit légal de faire appel de toute interdiction en ligne et de toute suppression de contenu, s’ils peuvent prouver que leurs propos sont légaux en vertu de la constitution. Un nouveau conseil de la liberté d’expression aura le pouvoir d’ordonner aux grandes entreprises technologiques de rétablir les comptes et les contenus, sous peine de devoir payer de lourdes amendes. Les propriétaires de médias sociaux ne dirigent aucune entreprise. Les grandes entreprises technologiques sont des monopoles », a déclaré le ministre polonais de la Justice à Breitbart News. La Hongrie a également confirmé qu’elle prendrait des mesures pour mettre fin aux « interdictions d’affichage » des opinions « chrétiennes, conservatrices et de droite » en ligne. A quand la France !
Info Curia Jurisprudence / Héberger ses données chez les GAFAM :
quel discours croire sur le Cloud Act ?
NEWS
La » lanceuse d’alerte » Facebook a fait 36 dons à des démocrates, y compris à des extrémistes anti-primaires et au parti AOC.
On dirait que la » lanceuse d’alerte » fait moins de bruit et plus de révélation.
La « lanceuse d’alerte » de Facebook Frances Haugen est une donatrice démocrate de longue date, qui soutient les campagnes d’extrémistes d’extrême gauche comme Alexandria Ocasio-Cortez. Elle a également donné de l’argent à des groupes activistes qui tentent activement de faire dérailler le processus des primaires américaines qui permet aux membres ordinaires du public de battre les politiciens de l’establishment et de carrière, peut révéler The National Pulse.
Dénoncer l’establishment.
La « dénonciation » de Haugen a été saluée par les médias d’entreprise : un signe certain qu’au lieu d’être un acteur unique tentant de dénoncer les abus des entreprises, elle est probablement soutenue par de gros intérêts. Mme Haugen a d’abord divulgué anonymement des documents internes avant de révéler son identité et d’appeler à une censure massive sur Facebook, mais uniquement des idées politiques auxquelles elle s’oppose.
Le National Pulse a jusqu’à présent identifié 36 dons de Haugen pendant qu’elle était employée de Facebook, Pinterest et Gigster. Tous ces dons, qui totalisent près de 2 000 dollars depuis décembre 2016, sont allés à des démocrates, dont Alexandria Ocasio-Cortez.
Le 13 janvier 2020, Haugen a envoyé de l’argent à la campagne d’Ocasio-Cortez au Congrès et une autre contribution à son comité d’action politique (PAC) « Courage to Change ».
« Tous les partisans incarneront les idéaux de la justice raciale, sociale, économique et environnementale », promet le PAC.
Le don le plus récent de Mme Haugen remonte au 4 août, avec l’envoi de 100 dollars au Democratic Senatorial Campaign Committee (DSCC).
Des militants anti-démocratie.
Conformément à son souhait de purger les médias sociaux de toute opinion politique autre que la sienne, Mme Haugen a également fait un don à un groupe de « résistance » de gauche dont l’une des principales priorités est le démantèlement du processus électoral primaire aux États-Unis.
L’Amérique est quelque peu unique sur la scène mondiale dans son engagement en faveur d’un processus décentralisé par lequel les citoyens ordinaires peuvent devenir candidats à un parti politique. C’est peut-être la partie la plus démocratique des élections américaines.
Mais, pour reprendre les termes de la campagne « It Starts Today » soutenue par Haugen, « les primaires partisanes modernes – en particulier au sein du GOP – ont eu une conséquence inattendue : l’extrémisme de nos élus et le dysfonctionnement de nos législatures ».
Il y a, bien sûr, beaucoup plus d’extrémisme à la gauche politique du Congrès américain qu’à la droite politique. Mais à partir de juin 2021, le groupe fondé par Jonathan Zucker d’ActBlue a décidé que le moyen de battre les républicains n’était pas de gagner la bataille des idées, mais plutôt d’empêcher les vrais conservateurs de gagner les primaires.
Haugen a fait deux dons à « It Starts Today », et affirme curieusement qu’il « retient les dons » pour les candidats aux primaires démocrates jusqu’à la fin du processus de sélection.
Le dégoût de Haugen pour la liberté d’expression va de pair avec son dédain pour le processus démocratique. Elle a notamment travaillé chez Google, qui lui a payé son diplôme de la Harvard Business School. The National Pulse